Master 2 Criminologie

Le parcours Criminologie vise à former des étudiants au phénomène criminel, aussi bien à travers les sciences de la santé qu'à travers les sciences sociales. Il s'appuie pour cela sur des apprentissages en droit, en agressologie, victimologie ou encore philosophie. Il est porté par la faculté de médecine, en collaboration avec la faculté de droit et de sciences politiques de Rennes et les enseignants de psychocriminologie et sociologie de l’Université de Rennes 2.

Objectifs de la formation

Le parcours Criminologie est destiné à permettre aux étudiants en sciences de la santé et en sciences humaines, ainsi qu’à des professionnels (santé, justice, social, éducatif) d’acquérir des compétences spécialisées et de construire une culture commune autour du phénomène criminel.

Descriptif : droit, procédure et expertise

  • Lieu : Rennes
  • Durée : 1 an
  • Langue d’enseignement : Français
  • ECTS : 60

Public

  • Formation initiale : étudiants en santé, en sciences humaines (droit, psychologie, sociologie…).
  • Formation continue : professionnels de santé, professionnels du droit (avocats, magistrats, OPJ, personnels pénitentiaires, PJJ), professionnels du champ social et socio-éducatif…

Conditions d’accès

  • Accès direct pour les étudiants titulaires d’un Master 1 Santé Publique de l’Université Rennes 1.
  • Pour les autres candidats, l’accès au Master 2 est conditionné à l’examen du dossier. Dans tous les cas, les étudiants doivent être titulaires d’un Master 1.

Contenu de la formation

  • Droit pénal général et spécial
  • Procédure pénale et pénologie
  • Agressologie
  • Victimologie
  • Philosophie
  • Expertise (criminalistique, psychiatrie, psychologie)
  • Stage

Débouchés professionnels

Professionnels de santé : médecin légiste, psychiatre, pédiatre
Psychologues spécialisés dans la prise en charge des victimes et auteurs d’infractions.
Professionnels du droit : magistrats, avocats, personnels de l’Administration pénitentiaire (service pénitentiaire d’insertion et de probation), associations de victimes, bureaux d’aides aux victimes auprès des tribunaux…